Interdire les « pushers virtuels » ?

Pour protéger efficacement les jeunes et moins jeunes des conséquences néfastes des réseaux sociaux, il est nécessaire de réglementer au niveau des processus algorithmiques qui sont à la source des dérives que l’on redoute. Plutôt que s’épuiser à interdire l’usage des dispositifs connectés et la fréquentation des réseaux sociaux, il faut agir au niveau des mécanismes par lesquels les plateformes en ligne transforment en dollars l’attention que les individus portent à ce qu’ils voient ou entendent.

Ce contenu a été mis à jour le 05/28/2024 à 8:23 AM.