Passe-droit aux technos « disruptives »

Chaque jour, des faussetés délirantes se répandent à la manière des virus sur les réseaux sociaux. Sans parler du harcèlement sur les plateformes en ligne qui, comme l’exposait en juin dernier l’étude du Conseil du statut de la femme du Québec, affecte majoritairement les femmes.  Beaucoup de ces pratiques délictueuses sont facilitées par l’usage non encadré de dispositifs technologiques « disruptifs » dits « intelligents ». À moins de se résoudre à subir la dislocation de la paix sociale, la mise en place de règles adaptées et efficaces est une urgence.

On tend à gober comme une vérité qu’il serait illégitime pour les États d’appliquer leurs lois à ce qui se passe sur Internet.  Comme si le fait d’accepter que  le milliardaire Elon Musk censure à sa guise était un gage de démocratie

Ce contenu a été mis à jour le 12/20/2022 à 10:36 AM.