Le vrai danger de l’affaire Andrew Potter

Lorsque pour répondre aux pressions et aux vindictes populaires ceux qui ont pour tâche de gérer une institution universitaire se mettent, au nom de l’institution, à approuver ou à désapprouver les propos ou les écrits de l’un ou l’autre des chercheurs ou professeurs, le risque s’accroît que s’installe un régime selon lequel les propos doivent être « autorisés » par les gestionnaires. Alors, la liberté universitaire recule.

Ce contenu a été mis à jour le 03/28/2017 à 11:48 AM.