Le vrai danger de l’affaire Andrew Potter
Le Devoir, Opinion Pierre Trudel
03/28/2017
Lorsque pour répondre aux pressions et aux vindictes populaires ceux qui ont pour tâche de gérer une institution universitaire se mettent, au nom de l’institution, à approuver ou à désapprouver les propos ou les écrits de l’un ou l’autre des chercheurs ou professeurs, le risque s’accroît que s’installe un régime selon lequel les propos doivent être « autorisés » par les gestionnaires. Alors, la liberté universitaire recule.
Ce contenu a été mis à jour le 03/28/2017 à 11:48 AM.