Nos visages numérisés
Le Devoir, Opinion Pierre Trudel
02/05/2019
En persistant à tenir pour acquis que les données collectées par une entreprise, généralement avec le plein consentement des individus, font platement partie de ses « actifs » et que les entreprises sont libres d’en disposer à leur guise, on fait bon marché des enjeux collectifs de la ressource que constituent désormais les données. Pas étonnant de constater le déficit de confiance qui se manifeste pratiquement chaque fois qu’on met en avant les dispositifs qui captent et analysent des données.
Ce contenu a été mis à jour le 02/05/2019 à 10:38 AM.